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Côtes d'Armor - Que faire à Erquy ?

  • Photo du rédacteur: EspritGlobeTrotteuse
    EspritGlobeTrotteuse
  • il y a 38 minutes
  • 13 min de lecture
Que faire à Erquy ?

Il est des noms qui respirent déjà l’air du large. Erquy, dans les Côtes-d’Armor, fait partie de ceux-là : un mot bref et sonore, comme un cri de mouette lancé au-dessus des vagues. Station balnéaire emblématique du collectif Sensation Bretagne, cette petite ville portuaire allie l’authenticité des ports de pêche bretons à la douceur d’une vie de bord de mer rythmée par les marées, les coquilles Saint-Jacques et le parfum des ajoncs en fleur.

Passer quelques jours à Erquy, c’est s’offrir un condensé de Bretagne, un moment suspendu entre les falaises de grès rose, les criques secrètes et l’accueil bienveillant d’un village tourné vers l’océan.


Je vous invite à découvrir Erquy et les différentes activités que l'on peut y faire.



Sommaire



Quelles activités faire à Erquy ?


Comme il est toujours plus facile de se repérer à l'aide d'une carte, voici une carte des Côtes d'Armor pour situer Erquy.

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Membre du collectif Sensation Bretagne, Erquy cultive ce qui fait le charme des stations balnéaires bretonnes : une ambiance conviviale, une nature préservée et un sens aigu de l’accueil.

Ici, on peut tout faire à pied : le marché du samedi matin, les petites boutiques du centre, la promenade du port ou la plage principale. Les amateurs de sports trouvent leur bonheur : randonnée, trottinette, vélo, paddle, kayak, voile.

Erquy est de ces lieux où l’on se sent vite “chez soi”, sans jamais cesser d’être en voyage.


Le port, cœur battant d’Erquy


Le matin, avant même que le soleil ne réchauffe les façades pastel du port, la vie bruisse déjà entre les coques des bateaux. Les chalutiers rentrent au port, chargés de leur précieux butin : la coquille Saint-Jacques, emblème d’Erquy et fierté de toute une région. C’est ici que se tient, chaque printemps, la fameuse fête de la coquille Saint-Jacques, un rendez-vous gourmand et festif qui célèbre ce joyau marin.

Au fil des heures, les quais s’animent. Les terrasses s’ouvrent, les promeneurs flânent. La lumière glisse sur l’eau, tantôt argentée, tantôt turquoise selon l’heure et l’humeur du ciel. C’est un spectacle changeant, apaisant, presque méditatif.


Les Lacs bleus d’Erquy : un détour magique entre port et lande


La balade commence tranquillement, au port d’Erquy, là où les chalutiers somnolent entre deux marées. L’air sent le sel, la corde mouillée et le poisson frais. On longe les quais, on quitte doucement l’agitation, et déjà la ville s’efface derrière les rochers.

Le sentier grimpe, bordé d’ajoncs et de bruyères. La mer apparaît, disparaît, comme un fil conducteur entre deux mondes. Puis, soudain, au milieu des arbres, un bleu inattendu surgit. Pas celui de la Manche, non : un bleu profond, presque minéral.

Les Lacs bleus d’Erquy, anciens sites d’extraction de grès aujourd’hui envahis par l’eau, forment un paysage à part, presque surréaliste. Le silence y est total, juste troublé par le vent. La couleur de l’eau change avec la lumière - turquoise le matin, cobalt sous les nuages - et les falaises rouges qui l’entourent accentuent encore la magie du lieu.

On s’y arrête, on respire. On se sent loin de tout, alors qu’à peine une heure plus tôt, on flânait encore sur le port. Erquy a ce don : transformer une simple balade en voyage intérieur, entre terre et mer.


Les falaises de grès rose : une Bretagne de lumière


À Erquy, tout commence souvent par un pas sur le sentier. Ce petit chemin côtier, qu’on appelle ici le GR34, file vers l’infini entre lande et océan. C’est un sentier mythique, celui des anciens douaniers, qui longe la côte bretonne d’un bout à l’autre du pays. Mais entre le port d’Erquy et son cap, il prend une dimension presque magique.

La balade démarre en douceur depuis la plage de Caroual ou le port d’Erquy, selon l’envie. Très vite, le bitume laisse place à la terre rouge du grès, et les parfums de la lande se mêlent à l’iode. Ici, la pierre, la mer et le vent dialoguent en permanence. Le grès rose, sculpté par les éléments, teinte les falaises de nuances chaudes - du vieux rose au cuivre en passant par le roux profond. Sous le soleil ou dans la brume, la lumière change sans cesse : un tableau vivant que l’on contemple à chaque virage du sentier.

Les landes du Cap d’Erquy sont un écrin de nature préservée, classées site naturel remarquable. Au printemps, les ajoncs dorés et les bruyères mauves embrasent le paysage, contrastant avec le bleu froid de la mer. On marche dans le silence ponctué du cri des goélands, du sifflement du vent, du frémissement des herbes folles. Quelques bancs de pierre invitent à faire une pause face au vide : ici, on ne compte plus les respirations qu’on retient, tant la beauté semble suspendre le temps.

Plus loin, le sentier surplombe des criques aux eaux turquoise - Port-Blanc, Lourtuais, Port-Marie - que l’on atteint par des escaliers abrupts. Ce sont des paradis confidentiels, souvent à l’abri du vent, où quelques baigneurs s’aventurent à plonger dans l’eau claire. Quand la marée est basse, les rochers dévoilent des piscines naturelles où l’on devine les reflets du ciel.

Au sommet du Cap d’Erquy, la récompense est à la hauteur de l’effort. La vue s’étend à perte de vue : à l’est, le Cap Fréhel dresse sa silhouette majestueuse, et par temps clair, on devine même les contours du Fort La Latte, minuscule forteresse posée sur son promontoire. À vos pieds, les falaises plongent à pic dans la mer, et les courants dessinent des arabesques d’écume sur l’eau. C’est un lieu qui apaise, qui recentre, où l’on mesure à quel point la Bretagne est une terre d’éléments.

Cap d'Erquy

Trottinette électrique : la traversée de la lande d’Erquy jusqu’à Lourtuais


Je ne sais pas exactement à quel moment j’ai dit “oui”. Peut-être trop vite, sans réfléchir. “Tu verras, c’est facile, on fait une balade en trottinette électrique, juste jusqu’à la plage de Lourtuais !” Sur le papier, ça sonnait bien : un grand bol d’air breton, un moyen de transport écolo et ludique, et surtout, cette promesse d’un panorama à couper le souffle au bout du chemin. Mais voilà. Moi, l’équilibriste de fortune, la prudente de service, l’idée même de filer debout sur une trottinette au milieu des sentiers de grès et des bourrasques d’Erquy me faisait un peu… frémir.


Le départ s’est fait nonchalamment. Je tenais le guidon un peu trop fort, crispée, concentrée. Les premiers mètres furent hésitants : un coup d’accélérateur trop vif, un virage mal négocié, et mon cœur s’emballait à chaque secousse.

Mais très vite, la route s’est ouverte sur la lande. Le bitume a laissé place à la terre ocre et aux sentiers bordés d’ajoncs. Le vent a pris sa place dans le décor, soulevant les mèches de mes cheveux et dissipant peu à peu mes appréhensions. Autour de moi, le grès rose d’Erquy brillait sous le soleil, comme si la lumière s’amusait à redessiner chaque relief.

On a quitté la civilisation pour entrer dans un autre monde : celui des landes sauvages, des falaises mordues par la mer, des bruyères qui ondulent comme une mer végétale. La trottinette ronronnait doucement, souple et docile. J’ai desserré un peu les doigts, ajusté mon regard vers l’horizon. Et sans m’en rendre compte, la peur a commencé à reculer.


C’est étrange comme le corps s’adapte quand l’esprit lâche prise. Au fil des virages, j’ai trouvé le rythme. La trottinette glissait désormais comme une plume sur le vent. J’ai commencé à lever les yeux, à respirer vraiment, à sentir l’air salé sur ma peau.

Sur le côté, la mer apparaissait par intermittence, entre deux arbres. Le bleu profond contrastait avec le vert de la végétation. Un spectacle total, brut, presque irréel.

Il y avait toujours ce petit frisson d’inquiétude, cette adrénaline tapie au creux du ventre - mais elle s’était transformée. Ce n’était plus la peur de tomber. C’était celle, plus douce, d’aller trop vite, de manquer quelque chose, de ne pas assez savourer.


Et puis, soudain, au détour d’un virage, la plage de Lourtuais s’est dévoilée. Une anse parfaite, sauvage, comme découpée dans la roche. Le sable doré descendait en pente douce vers une eau d’un turquoise éclatant. J’ai freiné net, les yeux écarquillés. Devant moi, tout était lumière. La mer scintillait comme un bijou, bordée de falaises rosées et de touffes d’ajoncs.

On a garé les trottinettes au bord du sentier, le cœur encore battant. Le vent s’était calmé, les cris des goélands résonnaient au-dessus de la crique. Et moi, debout face à cette immensité, je me suis sentie minuscule et fière à la fois. Fière d’être arrivée là, d’avoir osé.

Je me suis souvenue de ma peur du départ, et j’ai souri. C’est fou comme les paysages peuvent guérir les petites craintes. Comme l’effort, l’équilibre, le souffle, peuvent se transformer en joie pure quand on les dépasse.

Je me suis assise un moment, le regard perdu dans le bleu. Et j’ai pensé que cette balade n’était pas seulement une excursion : c’était une petite victoire. Une de celles qu’on n’annonce pas, qu’on garde pour soi, comme un secret lumineux.


Le trajet retour fut presque trop court. Je filais désormais sans peur, le vent en plein visage, les roues glissant sur le sentier. La lande s’embrasait doucement sous la lumière de fin d’après-midi, et j’avais le sourire de ceux qui savent qu’ils viennent de dépasser une limite, même infime.

En arrivant, j'avais cette certitude simple : parfois, il suffit d’un peu d’audace, d’un vent favorable et d’un paysage breton pour apprendre à se faire confiance.


Réservations à effectuer directement sur le site de GlobeTrotters



Prolonger la découverte autour d'Erquy


Erquy n’est pas une île : elle fait partie d’un chapelet de perles qui ponctuent la côte nord bretonne. À quelques kilomètres à l’est, le Cap Fréhel déploie ses falaises spectaculaires, balayées par les vents. Au loin, le Fort La Latte, dressé sur son promontoire rocheux, semble sorti d’un roman d’aventures.

Vers l’ouest, la charmante station de Pléneuf-Val-André offre une ambiance plus Belle Époque, avec sa digue promenade, ses villas cossues et son casino au bord de la mer.

Et partout, la même promesse : celle d’un littoral préservé, où la nature est encore reine et où chaque crique, chaque chemin, semble raconter une histoire.


Je vous propose de nous diriger au Cap Fréhel pour découvrir ces paysages fascinants, mais également de visiter le jardin des Osmanthes pour une expérience sensorielle hors du commun.


Cap Fréhel : la Bretagne à l’état brut


Entre ciel et mer, le Cap Fréhel dresse sa silhouette farouche face aux vents. À quelques kilomètres d’Erquy, ce promontoire de grès rose plonge dans l’océan comme une proue de navire. Ici, tout semble plus grand, plus pur, plus vivant.

Dès les premiers pas sur le sentier, on comprend que l’on entre dans un territoire d’éléments. Le vent siffle, les goélands tournoient, et la lande s’étend à perte de vue, tapissée d’ajoncs dorés et de bruyères mauves. Il s'agit de la plus vaste lande littorale des côtes françaises, remarquable par la richesse de sa faune et de sa flore, qui ouvre la vue sur de larges horizons marins où nagent phoques et dauphines.


Le chemin mène jusqu’au phare du Cap Fréhel, gardien de pierre posé à plus de 70 mètres au-dessus des flots.

Focus historique :

La "vieille tour" bâtie entre 1701 et 1702, bien que désaffectée, reste le plus ancien phare à terre de Bretagne. Le phare actuel, l'un des plus puissants de France, a été construit pour remplacer celui qui avait été détruit par l'armée allemande en 1944. La Seconde Guerre Mondiale a laissé bien des traces aujourd'hui masquées par la lande.

Du haut de sa tour, la vue est vertigineuse : à l’est, on devine le Fort La Latte, minuscule forteresse dressée sur son rocher ; à l’est, la côte d’Émeraude déroule ses falaises et ses criques sauvages.

Ici, la lumière change sans cesse. Le matin, elle dore les falaises ; à midi, elle fait vibrer la mer d’un bleu presque tropical ; le soir, elle s’adoucit, rosissant la lande comme un feu qui s’éteint lentement.

On s’y sent à la fois minuscule et pleinement vivant. Le Cap Fréhel, c’est la Bretagne à l’état brut - une terre battue par les vents, mais apaisante comme un souffle d’éternité.



Voyage olfactif au Jardin des Osmanthes : quand la nature devient parfum


Il est des lieux où l’on entre sur la pointe des pieds, comme dans un sanctuaire. Le Jardin des Osmanthes fait partie de ceux-là. Niché entre ciel et terre, ce jardin singulier invite à une promenade lente, attentive, presque méditative. Ici, tout se découvre par le nez avant les yeux : les effluves d’herbes froissées, la douceur d’une fleur ouverte au soleil, le souffle d’un vent chargé de menthe et de lavande. Une visite sensorielle qui éveille les sens, avant de se transformer, dans un second temps, en expérience créative : un atelier de confection de parfums, où chacun compose sa propre signature olfactive.


La visite du jardin, une symphonie d’odeurs et de textures


Dès l’entrée, l’air semble différent - plus dense, plus vivant. Les parfums s’y mêlent sans s’entrechoquer, comme une mélodie végétale. La balade débute parmi les plantes médicinales et aromatiques : la sauge et son odeur poivrée, le romarin qui rappelle la garrigue, la verveine citronnée dont la simple caresse libère un parfum d’été.

On avance lentement, en laissant les fragrances nous guider. Les guides invitent à toucher, sentir, parfois même goûter. Une feuille de menthe froissée entre les doigts, une note d’eucalyptus qui s’élève, un soupçon de thym qui réveille la mémoire. Chaque plante raconte une histoire : sa provenance, ses vertus, sa façon d’interagir avec l’humain. Certaines apaisent, d’autres stimulent. Toutes semblent tisser un lien intime entre le corps et la nature.

Puis vient la partie florale du jardin : un festival de couleurs et de senteurs. Le jasmin et la tubéreuse exhalent leur puissance sucrée, presque entêtante. Les roses anciennes, au cœur charnu, dégagent un parfum de miel et de fruits mûrs. Plus loin, la lavande ondule dans le vent, adoucissant l’air de ses notes bleutées. Et bien sûr, le maître des lieux : l’osmanthe, cette fleur rare d’Asie dont le parfum mêle des accents d’abricot, de thé et de cuir. C’est elle qui donne son nom au jardin, et son âme.

Le long du sentier, chaque recoin propose une émotion : le coin des herbes à tisanes, la parcelle des plantes à parfums, le sous-bois où les senteurs se font plus humides, presque animales. On respire, on ralentit, on écoute le bruissement des feuilles. On se rend compte que le nez, souvent oublié, devient ici notre guide le plus précieux.


L’atelier de création de parfum, l’art d’assembler les émotions


Après la promenade, place à la création. Dans une petite salle lumineuse ou sous une tonnelle ouverte sur le jardin, les flacons d’essences sont disposés sur la table comme une palette de peintre. La parfumeuse - douce, passionnée, un peu magicienne - nous invite à découvrir le langage des odeurs : les notes de tête, de cœur et de fond.

On approche les fioles une à une. La bergamote, fraîche et vive, réveille aussitôt l’esprit. Le bois de santal, profond, rassurant, ancre les émotions. La rose de Damas, la fleur d’oranger, le patchouli, la vanille… chacune évoque un souvenir, une saison, une humeur.

Guidés pas à pas, nous apprenons à marier ces fragrances, à équilibrer la légèreté d’une note d’agrumes avec la chaleur d’une note boisée, à trouver ce point d’harmonie où le parfum “tient” et respire à la fois. La concentration se mêle à l’émotion. Le geste est précis, presque rituel. On verse, on teste, on ajuste.

Peu à peu, de la confusion des senteurs naît une composition unique : la nôtre. Un parfum personnel, reflet d’un moment, d’une émotion, d’une personnalité. Certains choisissent la douceur florale, d’autres la fraîcheur verte ou la profondeur ambrée. Le plus beau, c’est qu’il n’y a pas d’erreur possible - seulement des chemins différents vers soi.

Quand vient l’instant de fermer le flacon et d’y coller l’étiquette, un sourire se dessine. Ce parfum, c’est plus qu’une fragrance : c’est un souvenir capturé, une trace invisible de cette immersion sensorielle.


Entre nature et création


Quitter le Jardin des Osmanthes, c’est un peu comme sortir d’un rêve parfumé. On emporte sur la peau la mémoire des plantes, dans la poche un petit flacon de soi, et dans la tête une nouvelle façon de sentir le monde.

Cette expérience, à la fois botanique et poétique, rappelle que les odeurs sont bien plus que des plaisirs éphémères : elles sont des émotions, des paysages, des réminiscences. Et dans ce jardin où chaque feuille respire, où chaque fleur raconte, on comprend soudain que le parfum le plus précieux n’est peut-être pas celui qu’on crée… mais celui que la nature nous offre, à chaque inspiration.



J'espère que ces découvertes vous ont plu et vous donneront envie de découvrir ce joli territoire que sont les Côtes d’Armor.



Infos pratiques pour organiser son séjour à Erquy


Quand y aller ?


Vivant en bord d'océan, je peux vous garantir qu'observer les marées et les paysages côtiers est un enchantement à toute saison. Se promener en hiver ou juste en arrière saison prodigue un sentiment de liberté absolu. Par contre, pour profiter de la baignade ou juste réaliser la balade en trottinette électrique, je vous recommande quand même d'attendre les beaux jours. De mai à septembre/octobre est idéal.


Comment se déplacer ?


Nous nous sommes rendues à la gare de Saint-Brieuc en train (juste 2h15 de trajet depuis Paris) avant d'être pris en charge en voiture. Pour vous rendre dans les Côtes d'Armor et arpenter ce joli département, il n'y a pas beaucoup de choix et la voiture est vraiment indispensable.


Où trouver des informations complémentaires ?


L'article se veut le plus complet possible mais ne peut intégrer les actualités du moment, les évènements et les nouveautés de la station. Aussi, je vous recommande, comme avant chaque visite, de consulter le site internet d'Office du Tourisme d'Erquy pour une documentation complète sur les visites à réaliser.


Où dormir ?


Séjour à l’hôtel La table de Jeanne : Une escale de charme face au port d’Erquy


Au cœur d’Erquy, jolie station balnéaire des Côtes-d’Armor, l’hôtel La Table de Jeanne offre l’emplacement rêvé pour un séjour entre terre et mer. Posé face au port, à deux pas des plages de sable rose et des sentiers des caps, cet établissement convivial mêle authenticité bretonne et accueil chaleureux.


Derrière sa façade typique, on découvre des chambres personnalisées, décorées avec soin, chacune évoquant l’air marin, les bateaux du port ou les nuances changeantes de la côte d’Émeraude. Certaines offrent une vue imprenable sur la mer, d’autres plongent dans l’ambiance tranquille du village.


Chaque matin, le buffet petit déjeuner fait la part belle aux produits frais et gourmands : viennoiseries dorées, fruits de saison, confitures maison, jus et boissons chaudes pour bien commencer la journée avant de partir à la découverte d’Erquy et de ses environs.



Où manger ?


Durant ce séjour à Erquy, nous avons testé 1 adresse de qualité.


Un dîner au Transat – Saveurs iodées face au port d’Erquy


Pour clôturer en beauté un séjour dans les Côtes-d’Armor, Le Transat, à Erquy, s’impose comme une escale gourmande incontournable. Installé face au port, ce restaurant à l’ambiance élégante mais sans prétention offre l’un des plus beaux panoramas de la station : les bateaux qui rentrent de pêche, la lumière changeante sur l’eau et, en fin de journée, le ciel qui se teinte d’or et de rose.


C’est là, attablés en terrasse, que nous avons savouré un délicieux cocktail, tout en profitant de la douceur du soir et du va-et-vient paisible des marins. Une parenthèse parfaite, entre détente et convivialité, avant de prolonger le plaisir avec une assiette de coquilles Saint-Jacques, spécialité emblématique d’Erquy. Fraîches, fondantes et subtilement dorées, elles rappellent à chaque bouchée pourquoi la petite cité bretonne est fière de son surnom de capitale de la Saint-Jacques.


Le Transat séduit autant par sa cuisine sincère et généreuse, qui met à l’honneur les produits de la mer, que par son emplacement idéal pour profiter de la vue et de l’atmosphère du port. Un lieu simple et raffiné à la fois, où l’on goûte le meilleur d’Erquy : son authenticité, sa convivialité et ses saveurs marines.



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À propos d'EspritGlobeTrotteuse

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Passionnée de voyages depuis toujours, c'est en 2005 que j'ai commencé les vols longs courriers et depuis j'ai à cœur de tout découvrir.

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